Le Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Professionnel (EPSP) a procédé à la clôture de l’année scolaire 2017-2018, ce lundi 2 juillet 2018 à Kisangani. Gaston MUSEMENA BONGALA a, pour ce fait, assisté aux cérémonies de proclamation des résultats de fin d’année organisées dans deux écoles du chef-lieu de la province de la TCHOPO, dans l’ex-Province Orientale.
Il s’est rendu d’abord au Complexe Scolaire TOBONGISA du réseau protestant, 5ème CELPA de l’Eglise du Christ au Congo (ECC). Ici, le Ministre de l’EPSP a pris la parole pour encourager les élèves qui attendaient de recevoir le fruit de leur travail. Il les a exhortés à se tenir prêt à recevoir le résultat, quel qu’il soit.
« Dieu notre créateur nous a créé pour être heureux et pour réussir dans la vie. Mais il ne faut pas oublier qu’à côté de la réussite que le Maître des temps et des circonstances a mise sur notre chemin, il y a toujours l’échec qui rode tout autour », a indiqué Gaston MUSEMENA, avant d’exhorter les élèves dont les résultats ne seront pas positifs cette fois-ci d’accepter la situation et se préparer pour mieux faire l’année prochaine.
Le Patron de l’EPSP a ensuite assisté à la proclamation au Collège Maele. C’est dans cette école conventionnée Catholique du Diocèse de Kinsangani que Gaston MUSEMENA a également effectué ses études. Il a tenu à porter cette information à la connaissance des élèves pour susciter en eux une sorte d’émulation.
Il a tenu à rassurer à ses successeurs sur les bancs de ce Collège que rien ne peut être impossible pour eux dans la vie. Il a pris pour exemple le fait que lui qui, il y a quelques années, était à leur place, se soit retrouvé à ce jour Ministre. Une façon pour le patron de l’EPSP de faire naître dans le chef de ces enfants l’espoir qu’un jour ils pourront aller loin, à la seule condition de travailler durement.
L’année scolaire qui s’est clôturée ce jour à Kisangani a été lancée le lundi 4 septembre 2017 à Kolwezi, chef-lieu de la Province du LWALABA, dans l’ex-Grand Katanga, par le Ministre de l’EPSP.
Jean-Luc MUSHIMPAKO
